Le président Nicolas Sarkozy

Ah ça, c'est sur qu'ils avaient des avantages à côté. Et je reste persuadé que notre cher Nicolas en a aussi.

eluus a écrit:

Les anciens présidents gagnaient (du moins Chirac sur) le même salaire que lui auparavent, soit 8000€.

et la "pompe Afrique" chiraquienne ça fait combien en revenus bonus, et non imposables en plus ?!

" j'ai toujours eu, de l'admiration pour vous, j'ai toujours su que vous seriez avec nous, je vous emmèèèène dans nos nouvelles colonies, l'africaineeeuuu......."

eluus a écrit:

Ah ça, c'est sur qu'ils avaient des avantages à côté. Et je reste persuadé que notre cher Nicolas en a aussi.

il faut arrêter la suspiscion ! si ça continue comme ça, bientot tu vas nous annoncer que le père Noël n'existe pas...

ahah a écrit:

Sarkozy a au moins l'honnêteté de déclarer son salaire

Moi je parle de ça.

Gagner plus pour gagner plus !

eluus a écrit:

ahah a écrit:

Sarkozy a au moins l'honnêteté de déclarer son salaire

Moi je parle de ça.

c'est sur que c'est un peu malvenu compte tenu de tout ce qu'on a déjà dit la-dessus, mais si ça s'inscrit dans un fonctionnement plus transparent qu'avant, pourquoi pas... (comment ça jsuis naïf ?!!!! :-bOad-: )

Citation :

Domaine "le plus préoccupant"

Plus de sept Français sur dix (71%) jugent que les mesures prises par le gouvernement pour augmenter leur pouvoir d'achat ne sont "pas efficaces", selon un sondage CSA publié vendredi dans Le Parisien/Aujourd'hui en France.
Moins d'un Français sur quatre (24%) juge ces mesures "efficaces", selon ce sondage. Cinq pour-cent ne se prononcent pas.
Le pouvoir d'achat est le domaine "le plus préoccupant" de leur vie quotidienne pour 48% des Français, selon ce sondage. Viennent ensuite la santé (39%) et la garantie de retraite (37%).
Viennent ensuite l'emploi (32%), l'environnement (28%), la qualité de vie (20%), l'éducation (20%), la protection sociale (19%), la sécurité (19%), le logement (18%) et les droits des salariés (6%). (avec AP)

- Sondage réalisé par téléphone les 7 et 8 novembre auprès d'un échantillon représentatif de 952 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Aucune marge de manœuvre n'a été fournie.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20071109.OBS3796/pouvoir_dachat__sarkozy_prendra_des_initiatives.html


Tiens c'est marrant maintenant que les élections sont passées, la sécurité, cheval électoral de bataille de Sarkozy candidat (ex-ministre de l'intérieur) repasse à la 8ème (ou 9ème) place alors qu'on nous martelait pendant la campagne que c'était l'un des thèmes majeurs de préoccupation des français .... qui a manipulé qui ??? Finalement quand les médias arrêtent de jouer le jeu de la peur et de l'insécurité les français reviennent aux préoccupations qui étaient les leurs : le pouvoir d'achat, la santé, l'emploi ... grosso merdo le même classement qu'un an avant les élections, avant le grand SarkoShow !

A vomir ... et il faudrait continuer à les écouter ??? !!!

parlons un peu de sarko et de la france vu de l'étranger :

Le journal DieZeit offre un point de vue très intéressant puisque totalement ignoré en france... (ou on manque de recul vis à vis de l'omniprésence de sarko sur le devant de la scène). Voila ma traduction/interprétation de l'article :

Die Zeit titre : >Sarkosy le thérapeute.

Car le président français, considéré par certains comme assoiffé de pouvoir et à tendance dominatrice, distille pour l'instant à son peuple des "massages de l'âme".

En fait, il y aurait en france un sentiment récurrent de "déclin", de pessimisme. Il y a aussi une sorte de phobie sur l'europe (de l'est) qui s'est manifestée déjà en 89 à la réunification, et en 2005 avec le NON.

Alors vu de l'étranger, le "phénomène sarko" agit comme un "thérapeute social" pour une france profondemment en doute. Comme chaque thérapeute il doit prendre les bon mots pour rassurer et redonner la foi.

Ainsi il prête les maux français aux autres pays : non seulement la france mais aussi toute l'europe doute et redoute (l'avenir). Le but : montrer aux français que c'est partout pareil, et que la france ne doit pas incarner l'exeption mais plutôt la règle.

actuellement aucun membre de l'UE n'est libre de doutes, même si on peut penser que la faiblesse psychologique de la france n'est pas contagieuse.
Sarko le sait mais parle quand même ainsi. Sarko : un président fort pour une france qui va en s'affaiblissant.

Citation :

DIE ZEIT

Sarkozy, der Therapeut

Frankreichs Präsident gilt manchen als machtlüstern. Zurzeit jedoch verabreicht er seinem Volk
Seelenmassage

Von Joachim Fritz−Vannahme

Der Präsident ist omnipräsent. Bretonische Fischer durften ihn erleben, und Berliner Migrantenkinder auch. Die französische Regenbogenpresse umgarnt ihn wie keinen Staatschef je zuvor _ Google nennt als Antwort auf den Suchbegriff _Sarkozy_ auf der ersten Seite eine einzige politische Meldung, das Meiste entfällt auf die Scheidung des Ehepaars Nicolas und Cécilia, von den Streiks im öffentlichen Dienst kein Wort.

Ins Rampenlicht drängt es diesen Politiker Tag für Tag. Wo seine illustren Vorgänger ihre Auftritte sparsam dosierten, da mag er von der Bühne nimmer lassen.

_Le style, c_est l_homme_, erklärte einst der große Naturforscher Buffon. Kein Zweifel, dieser Präsident ist ein halbes Jahr nach seiner Wahl ein Phänomen. Was aber bedeutet der allgegenwärtige Stil des Nicolas Sarkozy für Frankreich, für Europa, den Rest der Welt?

Der Philosoph Peter Sloterdijk, mit französischen Zuständen vertraut, warnte vergangene Woche in
provokanter Rede auf dem Deutsch−französischen Kulturforum in Freiburg vor dem _Experiment Sarkozy_: Selbst in ihren _verflachten Profilen_ bilde _die Erbmasse des Gaullismus ein für Europa nicht ganz unbedenkliches Risiko_, sagte Sloterdijk. Denn in Europa sei _für ein zweites Weißes Haus definitiv kein Platz_.

Der Philosoph rechnet den Präsidenten also zur Erbmasse des Gaullismus _ was so sicher nicht ist.
Amtsvorgänger Jacques Chirac dürfte in Sarkozy eher den Totengräber dieses Ismus sehen. Sloterdijk unterstellt überdies _ _zweites Weißes Haus_ _ dem französischen Präsidenten einen Hang zur Dominanz. Zu Recht?

Das Gegenteil von dominant ist rezessiv. Etwas tritt ungenügend in Erscheinung. Genau diese Gefühl angesichts der eigenen Rolle und Bedeutung beschlich die Franzosen zuerst während der Wiederherstellung der deutschen Einheit 1989: Der wichtigste Partner gewinnt an Macht, wendet sich gen Osten, vernachlässigt also uns, Frankreich.

Es dauerte, ehe diese Verlassenheitsangst gegenüber dem deutschen Nachbarn schwächer wurde. Ganz verschwunden ist sie nicht, zumal solche Phobie spätestens 2004, im Jahr der EU−Erweiterung, viele Franzosen mit neuer Heftigkeit befiel und ein Jahr später das _Non_ zum Verfassungsvertrag verstärkte. _Le déclin_, der Abstieg, das war das Grundgefühl vom Elsass bis zur Bretagne.

Seit Sarkozys Einzug ins Elysée klingt da manches anders. Er agiert bislang als Sozialtherapeut eines tief verunsicherten Frankreich. Und wie jeder Therapeut muss er zunächst die rechten Worte finden. Man lese nur seine jüngste Rede vor dem Europäischen Parlament).

Das französische Nein des Jahres 2005 sei eine _Katastrophe_ gewesen, aber keine Ablehnung Europas. Es gründe, sagte der Präsident in Straßburg, im Gefühl _von Millionen Männern und Frauen, dass Europa sie nicht genug schützt_. Sarkozy sieht ganz Europa in _einer schweren und tief greifenden Identitätskrise_.

Psychoanalytisch betrachtet versucht er hier eine Verschiebung: Nicht Frankreich, ganz Europa zweifle und verzweifle. Diese Verschiebung, so des Therapeuten Hoffnung, soll den Franzosen zeigen: Schaut her, es geht doch allen wie uns. Nicht die Ausnahme soll Frankreich verkörpern, sondern den Regelfall.

Nun ist derzeit kein Mitglied der EU frei von Zweifeln. Doch nicht überall wächst sich eine nervöse Störung gleich zur Neurose aus.

Sarkozy weiß das und redet trotzdem so. Seine starken Auftritte zelebriert dieser Präsident vor einem schwächelnden Frankreich. Sloterdijk mag derweil beruhigt sein: Ein Weißes Haus in solchem Frankreich, das wäre ein veritables Luftschloss.

Joachim Fritz−Vannahme, langjähriger ZEIT−Redakteur, leitet heute die Europa−Projekte der Bertelsmann Stiftung.

http://hermes.zeit.de/pdf/archiv/online/2007/47/Kolumne-Fritz-Vannahme-Sarkozy.pdf

bon j'ai pas trouvé de sujet sur la réforme des retraites donc je poste ici:

c'est coule les citations en allemand qu'on comprend rien

Citation :

M. Sarkozy se défend d'avoir "la mainmise" sur les médias
LE MONDE | 13.12.07 | 15h01 • Mis à jour le 13.12.07 | 15h07


Nicolas Sarkozy se défend de toute "mainmise" sur les médias, dans un long entretien publié jeudi 13 décembre par Le Nouvel Observateur.

"Nous atteignons le comble de l'hypocrisie française ! La presse est globalement de gauche, non pas socialiste, non pas partisane, mais culturellement de gauche. Cela ne gêne personne", affirme le chef de l'Etat.



"Lorsque Jean-Marie Colombani, directeur du plus grand quotidien français (Le Monde), deux jours avant le second tour, appelle à voter Ségolène Royal et à barrer la route à ce "bushiste néo-conservateur" de Sarkozy, c'est la démocratie !" (NDLR : dans son éditorial du Monde publié le 4 mai, Jean-Marie Colombani n'a employé ni l'adjectif "bushiste", ni le mot "néo-conservateur").

M. Sarkozy note qu'en France, "la liberté de la presse, c'est le soutien de la gauche. Quand on me soutient, ça devient la mainmise des médias", ironise-t-il. "La presse, globalement, a été opposée à ma candidature. C'est son droit. Dire qu'elle m'a aidée, c'est à exploser de rire !"

Interrogé sur sa proximité avec des patrons de presse, M. Sarkozy répond : "Si je suis le seul risque pour l'indépendance de la presse, vous pouvez dormir tranquilles." Le chef de l'Etat se réjouit du fait que Serge Dassault, Arnaud Lagardère, Martin Bouygues, Bernard Arnault, François Pinault, Claude Perdriel, possèdent des journaux.

"Réjouissez-vous que des industriels investissent dans la presse, plutôt qu'elle appartienne à des fonds de pensions anglo-saxons !", ajoute le président de la République.

Interrogé sur son omniprésence dans les médias, M. Sarkozy évoque ses liens avec TF1 : "Qui peut dire que cette chaîne a fait mon élection ?"

Le chef de l'Etat a été la personnalité la plus présente en nombre de passages au troisième trimestre dans les journaux télévisés des grandes chaînes, selon l'étude trimestrielle de l'Institut national de l'audiovisuel (INA) publiée mardi 4 décembre. La palme revient à TF1, qui a consacré 43 séquences au président.

Président du Forum des sociétés de journalistes (SDJ) et président de la Société des rédacteurs (SRM) du Monde, Jean-Michel Dumay déclare : " Que le chef de l'Etat se satisfasse de la montée en puissance des industriels dans les médias témoigne d'une totale désinvolture sur le sujet."

Rappelant que M. Sarkozy est le "garant constitutionnel du pluralisme de l'information", M. Dumay juge les propos du chef de l'Etat "inacceptables et dangereux".

"Les faits ne sont ni de droite, ni de gauche, rappelle le président du Forum des SDJ. L'immense majorité des journalistes qui en rendent compte ont cette vérité, qui est aussi une exigence, à l'esprit. C'est vraiment mal connaître le métier de journaliste dans sa diversité et dans ses contraintes, que de porter un tel jugement partisan".

M. Dumay ajoute : "Que M. Sarkozy accepte donc de rencontrer les journalistes pour parler de la crise de la presse plutôt que de jeter stérilement des anathèmes." Le Forum des sociétés de journalistes a demandé à rencontrer M. Sarkozy en juin, sans succès.

Devant l'importance "du temps d'exposition médiatique" de M. Sarkozy, François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste, et Didier Mathus, député PS de Saône-et-Loire, avaient saisi le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), fin septembre, pour lui demander de comptabiliser les interventions du président de la République.

Mais le CSA, arguant d'une décision du Conseil d'Etat de mai 2005, a répondu par une fin de non-recevoir.

edit: pour mieux coller a l'actualité, changement du titre du sujet

Perso je croit surtout que l'exposition de sarkozy est une réalité plus qu'évidente sur un support média en particulier = TF1.
C'es incontestable sur cette chaine, je ne lis pas trop les journaux mais quand je regarde des revus de presse la critique des journaux est, elle, au moins existante, notamment les Camus et autre canards enchaines, même si la possesion des médias par les grands entrepreneurs me fait peur.

pour ce qui est du canard enchainé, il ne faut pas non plus y chercher la verité, c'est un peu le voici de la politique française, les infos y sont certe croustillantes mais il faut les analyser et ne pas prendre brut pour poing le contenu de l'article...

Pour ce qui est du reste je suis plustot d'accord avec toi , l'orientation des médias est une évidence, et voila un discours rempli de démagogie de la part de notre omni-président. TF1 et M6 dans une moindre mesure sont clairement orienté, on retrouve ce problème dans la presse où aucun journal ne peu pretendre a l'objectivité , a part peut être les quotidiens gratuits qui se content du stricte minimum et encore.

C'est pour cela que je pense qu'il est interessant de comparer l'interpretation de l'information dans les differents journaux, acheter libé et le figaro le même jour par exemple, cela permet de trouver un juste milieu et de se forger sa propre opinion

ça commence enfin à bouger ! Dommage que les français en majorité se sont laissés manipuler par le show médiatique de Sarkozy qui représente bien un danger dans sa conception même de l'ordre, de la sécurité et du contrôle (et donc de la démocratie). On y vient doucement comme prévu, je ne suis pas sans papiers, je ne suis pas chômeur, ni rmiste ... pourquoi m'en soucier !? Ils méritent sûrement ce qui leur arrive ...

Au fait Brice Hortefeux vient à Vierzon demain ....

Citation :

Social
Les syndicats des ministères sociaux dénoncent la mise en place d'un "contrôle des populations les plus fragiles"
AP | 14.12.2007 | 18:13

Les syndicats des ministères du Travail, de l'Emploi, de la Solidarité et de la Santé ont dénoncé vendredi une "réorientation" des politiques publiques conduisant à passer "de l'aide aux populations les plus fragiles ou en difficulté à leur contrôle". Les syndicats annoncent une assemblée générale des personnels de ces ministère à Paris jeudi prochain pour décider d'éventuelles actions.

"Les réorganisations annoncées par le conseil de modernisation des politiques publiques (...) remettent considérablement en cause les missions des ministères chargés de l'Emploi, du Travail, de la Santé et de la Solidarité", déclarent les syndicats CGT, UNSA, CFDT, Sud, et FO des ministères concernés ainsi que le Syndicat national des inspecteurs de l'action sanitaire et sociale (SNIASS) dans un communiqué diffusé vendredi.

"Ces missions sont franchement réorientées vers la notion d'ordre public. On passe de l'aide aux populations les plus fragiles ou en difficulté à leur contrôle", assurent les syndicats.

"Ainsi, certaines DDASS (Directions départementales des affaires sanitaires et sociales) ont été sollicitées par les préfectures pour s'occuper des enfants étrangers pendant que leurs parents sont interrogés dans les commissariats de police", lors d'interpellation pour des contrôles de papiers, selon eux.

"Ainsi, ceux qui recherchent un emploi devront accepter les postes qu'on leur indiquera sous peine de perdre leurs indemnités : c'est le retour du travail obligatoire", affirment les syndicats.

"Ainsi, l'accès à la nationalité française ne sera plus le même selon qu'on réside à Marseille ou à Nantes. Il n'y aura plus de régulation nationale, ce seront les préfets et les élus locaux qui décideront", affirment encore les organisations syndicales.

Pour elles, "ces restructurations remettent en cause l'existence même de l'administration sociale. Elles sont menées sans tenir aucun compte des réflexions et positions des agents et de leurs représentants".

"Les organisations syndicales s'opposent à cette régression généralisée du rôle social de l'Etat", poursuit le communiqué, qui annonce une "assemblée générale de l'ensemble des personnels des ministères concernés", le 20 décembre à Paris.

L'initiative des organisations syndicales intervient alors que les principaux syndicats de l'inspection du travail appellent à une grève illimitée à partir de lundi concernant le contrôle du travail illégal des étrangers, afin de protester contre les missions que le gouvernement veut leur imposer, selon eux, pour les expulsions de sans-papiers.

"Les 'opérations conjointes'", entre les services de lutte contre le travail illégal et la police "tendent à transformer les agents de contrôle de l'inspection du travail en auxiliaires de police pour permettre d'atteindre 'l'objectif' de 25.000 expulsions en 2007 claironné", par le ministre de l'Immigration Brice Hortefeux, selon un communiqué des syndicats CGT, Sud et FSU. AP

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/social/20071214.FAP5210/les_syndicats_des_ministeres_sociaux_denoncent_la_mise_.html

qu'est ce que vous pensez de la visite de son nouveau super pote en France, le trés dictateur Kadhafi ?

Aprés Poutine, kadhafi, il en a des beaux amis notre président

On l'a recu comme on recoit un gran chef d'Etat sauf qu'il n'est démocratiquement rien...

52% contre, 37% pour dans un sondage que j'ai vu sur FR2.

Ha oui il est peut être dictateur mais il va rapporté énormément d'argent, alors on remballe nos belles idées humanistes hein, l'argent avant tout !

Toujours...

Malheureusement ...

oui et comme Kadhafi se délectait à le rappeler, avant de faire la morale aux autres en matière de droits de l'homme, nous ferions mieux de balayer devant notre porte.
Les sans papiers par exemple, mais aussi les conditions d'incarcération sont des sujets determinant pour établir si un pays respecte vraiment les droits de l'homme .... sans parler de l'indépendance de la justice et des médias !
Donc effectivement avant de la ramener nous ferions bien de regarder ce qui se passe chez nous. Il ne suffit pas d'avoir une secrétaire d'Etat aux droits de l'homme et de faire la leçon pour n'avoir rien à se reprocher.

+1 zoen charlot nat et haha
Qui sait peut-être que Kadafi souhaite réellement normaliser ses relations internationales et s'engager petit à petit (tout doucement pour ne pas perdre la face) sur le processus de démocratisation...? (comment ça jsuis naif ?? )


NEWS : après demain mercredi on va voir les photos (prises avec flash donc autorisation) de SARKO + CARLA BRUNI à disneyland paris, résultat on va encore parler du coté people et pas des idées, des réformes...
- Encore un feu de diversion allumé par mister president ?
- Vrai ou faux couple ? (soi-disant vrai...) Le président doit-il s'afficher ainsi sa vie privée ?

comme disait un auditeur de Bourdin&Co ce matin : "sarko nous prends vraiment pour des mickey" :-bOad-:

Tiens javais pas entendu parler de ça ^^

Perso j'men fou, a pars que ke ne vois pas ce qu'il lui trouve a sarkozy la belle Carla ^^

moi ce qui membete cest quon se tape deja les pages people américaines, alors les pages people sur notre cher président français vont rudement me faire chier...

d'après un paparazzi écouter sur bfmTV à 5h du mat' ( oué j'ai du mal avec l'insomnie en ce moment) sarko a fait ça de manière volontaire, limite en convoquant les photographes, engro coup de pub koi.. après vrai ou pas je me demande ...

en tout cas c'est pas mal joué pour faire oublier l'incontrolable mr kadhafi...