Campagne Présidentielle de 2012

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c'est vrai que discuter avec un gus qui t'écrit que nous vivons sous le joug sioniste, c'est super cool.

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Quant à cette déclaration sur le joug sioniste, je la trouve pitoyable...

Au regard du parti pris pro-israélien de notre diplomatie depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, de l'influence du CRIF sur la vie politique française, des multiples bâtons mis dans les roues de Dieudonné, de Bernard-Henri Lévy qui engage les forces françaises et Libye et qui déclare ensuite avoir agi en portant en étendard "[...] ma fidélité au sionisme et Israël", on peut dire que la France est, si ce n'est sous le joug, sous grande influence sioniste.

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Je me revendique plutôt comme un apolitique, car aucun(e) de ces guignol(e)s n'a un discours qui me convient. Ils sont tous esclaves et marionnettes d'un monde en marche dont ils ne peuvent pas s'extraire, et en dehors d'agiter les bras et de l'ouvrir bien grande pour en amasser le plus possible, ils ne peuvent RIEN faire.

ca
Depuis le départ du général, les gouvernements qui se sont succédés n'ont fait que brader le pouvoir de la France. Maintenant rien se fait sans l'aval du MEDEF, de l'Union européenne, des places financières. D'où ma conviction depuis longtemps qu'en politique nous sortons peu à peu du clivage gauche/droite pour aller vers le clivage mondialisme/antimondialisme. Plus on ira vers ceux dont la politique est de détruire les règles et les frontières, plus on perdra notre souveraineté, notre capacité à agir et à décider de notre destin.

On reproche principalement au Front National et ses électeurs (et même parfois à Nicolas Dupont-Aignan) leur position sur l'immigration Est-on raciste, xénophobe antirépublicain, quand on est contre l'immigration? Dans un pays où l'on manque d'emplois, d'infrastructures, et de logements, il faut se demander quel flux migratoire peut-on raisonnablement accepter. Vouloir à tout prix ne jamais aborder cette question est pour moi d'un angélisme dangereux.

Après de longues hésitations j'ai voté pour François Hollande, ayant vraiment envie que Nicolas Sarkozy ne soit pas réélu.

Apparemment la campagne présidentielle n'est pas tout à fait finie. Le Conseil constitutionnel a invalidé les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidentielle 2012 (http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20130704.OBS6517/pourquoi-les-comptes-de-campagne-de-nicolas-sarkozy-ont-ils-ete-rejetes.html). Pour le Conseil constitutionnel il aurait imputé des dépenses de sa campagne à la présidence de la république. Ils ont donc affecté ces dépenses à ses comptes de campagne faisant ainsi dépasser ceux-ci de 466.118 € du plafond autorisé. Par conséquent l'état ne remboursera pas les 47,5% prévus sur les 21,509 millions d'euros. L'UMP déjà endetté pour environ 55 millions d'euros a accusé la gauche de vouloir les couler pour les faire disparaître du paysage politiques, ce qui pour Jean-François Copé aurait pour conséquence de laisse le champ libre aux extrémistes. Il a alors lancé une grande souscription nationale ou "Sarkothon" pour demander aux militants et sympathisants de les aider à renflouer les comptes de campagne (http://www.lexpress.fr/actualite/politique/comptes-de-campagne-fillon-et-cope-appellent-l-ump-a-la-solidarite_1263945.html), puis décidé d'une réunion extraordinaire du bureau politique qui a marqué le retour de Nicolas Sarkozy à l'UMP (et peut-être dans la vie politique) où il n'avait officiellement plus mis les pieds depuis 2007 (http://www.huffingtonpost.fr/2013/07/08/ump-nicolas-sarkozy-retrouve-un-parti-en-crise-apres-avoir-quitte_n_3559939.html?utm_hp_ref=france). Deux semaines après l'UMP a récolté 8 millions d'euros via 90 000 donateurs. Il lui en manque toujours 2 millions à réunir dans les deux mois(http://www.leparisien.fr/politique/souscription-ump-sarkozy-remercie-les-donnateurs-mais-il-manque-2-millions-30-07-2013-3018125.php).