Ce n'est un secret pour personne : dans le monde, des millions d'autochtones ont été chassés de leurs terres pour laisser la place aux géants du pétrole, du métal, du bois et de l'agriculture. Mais peu de gens savent que la même chose se passe au nom d'une cause bien plus noble ; la protection de l'environnement.
En effet, depuis quelques années, notemment depuis 1993 et le procés de WWF demandant une augmentation des zones protgés de 8%, la surface des "parc nationnaux" ou de zones protgés, recouvre presque 12% des terres du globe. ce qui est en sois une bonne chose, le probléme c'est que pour les créateur de ces zones, être humain et écologie est incompatible. Ils y a eu donc, plus ou moins violemment, eu plus de 5 millions de déportés. Souvent, ce sont des tribus vivant en harmonie avec la nature qui se sont retrouvé exclu de leur terre et également de leur culture, obligé de s'intégrer tant bien que mal a un systéme monétaire qu'il ne connaisse ni n'approuve.
Ainsi, de grandes ONG réputé sont coupables de ce nouveau genre de colonisation (du moins c'est comme cela que le perçoivent les tribu déplacées) : ont note par exemple The Nature Conservancy (TNC), World Wildlife Fund (WWF) ou Conservation Internationnale (CI).
Un chef Massaï a déclaré los d'une session au congré mondial de la nature : "Nous ne voulons pas vous ressembler. Nous voulons que vous nous ressembliez. Nous sommes ici pour changer vos mentalités. Vous ne pouvez pas protéger l'environnement sans nous"
Ainsi ceux qui paye pour les désastre écologiques que nous avons provoqué sont ceux qui, paradoxalement, respectaient le plus la nature. Outre une erreur morale, sociale, philosophique et économique, c'est une erreur écologique de mettre à l'écrat ce genre de population qui ont bien plus a nous apprendre que ce qu'on veut bien penser.
Source : courier international