Qu'est ce que vous lisez en ce moment?

Ensemble, c'est tout de Anna Gavalda!

Ce livre raconte la rencontre puis les frictions, la tendresse, l’amitié, les coups de gueule, les réconciliations et tout le reste encore, tout ce qui se passe entre quatre personnes vivant sous un même toit.
Quatre personnes qui n’avaient rien en commun au départ et qui n’auraient jamais dû se rencontrer.
Un aristocrate bègue, une jeune femme épuisée, une vieille mémé têtue et un cuisinier grossier.
C’est la théorie des dominos à l’envers. Ces quatre-là s’appuient les uns sur les autres mais au lieu de se faire tomber, ils se relèvent. On appelle ça l’amour!

Le monde sans les enfants et autres histoires, Philippe CLAUDEL

Vingt histoires à dévorer, à murmurer, à partager;
Vingt manières de rire et de s'émouvoir;
Vingt prétextes pour penser à ce que l'on oublie et pour voir ce que l'on cache;
Vingt chemins pour aller du plus léger au plus sérieux, du plus grave au plus doux;
Vingt façons de se souvenir de ce qu'on a été et de rêver à ce que l'on sera;
Vingt regards pour saisir le monde, dans sa lumière et dans ses ombres;
Vingt raisons de rester des enfants ou de le redevenir;
Vingt sourires;
Vingt bonheurs;
Vingt battements de coeur ...


Je dévore ... :flower:

Cette histoire débute en l'an 2000. Oscar Dufresne a 34 ans. C'est un écrivain fictif, comme il y a des malades imaginaires. Il tient son journal dans la presse pour que sa vie devienne passionnante. Il est égoïste, lâche, cynique et obsédé sexuel – bref, c'est un homme comme les autres.
Ainsi l'auteur définit-il son livre, roman-journal et chronique des «people» : «Il faudrait inventer pour le délire dufresnien, en hommage à Malraux, la dénomination d'antijournal. C'est un miroir déformant que je promène le long de mon nombril.»

J'ai bien aimé.Ca se lit bien, ça fait sourire, c'est Beigbeder, faut aimer :)

Inconnu à cette adresse de Kathrine Kressmann Taylor

Tout simplement magnifique, dérangeant, cinglant et aberrant!

il s'agit de la correspondance entre 2 amis entre 1932 et 1934: l'un est américain et évoque sa solitude depuis que son ami est parti pour l'allemagne...ce dernier lui raconte sa nouvelle vie dans ce pays ou tout est train de changer pour aller vers le nazisme.Au fild es lettres et du temps les deux amis vont inexorablement s'éloigner, d'autant plus que l'un est juif...histoire d'une amitié défigurée par la haine!

Ca a l'air sympa Bibinouz !


Moi je suis dans le dernier Daniel Pennac, enfin sortit en collection folio (c'est tout de même encore 5.61 euros). Composé de Merci, et de Mes Italiennes.

Je n'ai lut que Merci pour l'instant, d'une seule traite. C'est à mi-chemin entre le théâtre et la nouvelle, un genre hybride qui met en scéne un seul personnage, assez agé, écrivain, et qui reçoit un prix pour "lensemble de son oeuvre". Il est sencé faire un discour de remerciement...Et forcement la plume de Daniel Pennac, son léger sarcasme ironique constant, et sa capacité d'analyser le moindre mot et de lui faire sentir toute ses subtilités font de ce monologue d'une centaines de pages un plaisir a lire aussi bien ludique qu'intellectuel.

J'ai hâte de commencer Mes Italiennes maintenant =)

Citation :

Ca a l'air sympa Bibinouz !

C'est vraiment bien! mais c'est surtout triste...

Ce que tu lis m'interresse, de quoi parle Mes Italiennes?

biBinouz a écrit:

Ce que tu lis m'interresse, de quoi parle Mes Italiennes?

En fait , Mes Italiennes est autobiographique, et directement en rapport avec Merci.

C'est que Merci, que j'ai défini comme hybride entre théâtre et nouvelle, a effectivement été joué sur scéne par D.Pennac lui même. N'étant pas acteur d'origine, il écrit avec autant d'esprit que le fait Benjamin malausséne dans les livres lui étant consacré, par quoi il en est passer pour arriver à la représentation théâtrale. C'est drôle et bien écrit, ça se lit tout seul!

merci pour la précision!
si je trouve un moment(c'est ca le problème quand on est étudiant...), je lirais ca, ca a l'air carrément bien!

Hache-Aile a écrit:

Heu... C'est fou j'ai presque honte de le dire mais... J'suis en train de lire THE best-seller (enfin l'ancien) le "Da Vinci Code". Enfin j'ai pas vraiment honte mais bon j'aime pas trop lire les livres/voir les films que tout le monde a adoré. Purement par esprit de contradiction...

t'es pas le seule! y a pas de honte!

Je suis egalement dans ton cas Hache Aile, je préfère prendre du recul et lire le bouquin "du moment" plus tard.

C'est pour ça que j'ai lu Et si c'etait vrai et Vous revoir (la suite) de Marc Levy pendant ces vacances.



Et bien c'est vraiment prenant. Le scenario est bien construit et l'écriture est simple.
Par contre l'adaptation au cinema est vraiment ratée je trouve, le scenario du livre n'est carrément pas respecté et bonjour la Hollywood touch.

American darling de Russel Banks


A cinquante-neuf ans, Hannah Musgrave revient sur sa vie de jeune bourgeoise américaine contrainte par son engagement révolutionnaire à prendre la fuite vers l'Afrique au début des années 1970. Ayant tenté sa chance au Libéria, elle s'y est mariée à un bureaucrate local appartenant à une tribu puissante et promis à une brillante carrière politique. Quelques années plus tard, elle a, en catastrophe, repris le chemin de l'Amérique, laissant là leurs trois enfants, fuyant la guerre civile qui enflammait le pays. Au moment où commence ce livre, Hannah quitte sa ferme "écologique" des Adirondacks, car ce passé sans épilogue la pousse à retourner en Afrique...

Evocation passionnante d'une turbulente période de l'histoire des Etats-Unis comme du destin d'un pays méconnu, le Libéria, le roman de Russell Banks tire sa force exceptionnelle de la complexité de son héroïne, et d'un bouleversant affrontement entre histoire et fiction.





Un chef d'oeuvre, moi qui adore les romans initiatique je n'ai pas été depaysé, Russel Banks est un ecrivain fantastique.
sa fresque de l'amérique et du liberia est cruelle mais tellement belle...

Enfin je vous conseille grandement ce bouquin ainsi que tous les russel banks...

Un amour de Swann - Proust

non non, ne partez pas en courant dés que vous entendez le nom d'un des auteur classique ! Proust, c'est pas si mal. croyez bien qu'en m'y plongeant, j'avais quelques peu d'anxiété quand à la légéreté de ce que j'allais découvrir sous mes yeux. et pourtant, aprés avoir déjà parcouru plus de la moitié du livre, force m'est de constater que ce n'est pas chiant le moins du monde. C'est bien écrit, certes certaines phrases sont un peu longue, mais le tout reste trés fluide. De plus Proust, en grand écrivain, sait décrire des sentiments d'une maniére trés juste, comme par exemple le plaisir qu'a le personnage principal (Swann) a entendre une muique particuliére. C'est vraiment trés bien écrit et ien rendu, et si ça ne s'étalais aps sur deux pages, je vous l'aurais bien recopié.

Bref un roman tout a fait lisible, d'une grande qualité littéraire, et prenant.

En plus ça fait toujours bien d'avoir un Proust dans sa bibliothéque

interressant ce bouquin.
interressante, la philosophie de didier morville.
avant de ciritiquer, lisez.

"Oh! hippie days"
de Alain Dister.

"J'ai pris la route au cours du bel été 1966, nourri de mythologies américaines_le free jazz et le blues du Delta, les grands textes de le Beat Generation, les poèmes électriques du rock'n'roll.
J'étais parti pour deux mois, avec pour tout bagage un appareil photo, des carnets, une paire de bottes, un sac de marin acheté aux Puces. J'ignorais que le voyage allait durer 4 ans.
New York. San Francisco. Commence une errance volontaire dans le maquis underground de la fin des années soixante. Les beatniks solitaires avaient cédé la place aux communautés hippies. Des salles de concert hallucinées célébraient Frank Zappa, Janis Joplin, le Grateful Dead. De Greenwich Village au Haight Ashbury soufflait le grand vent d'une révolution. Fraternelle, spirituelle, intensément jouissive.
Et puis, au fil des mois, le rêve a sombré dans le désarroi des phalanstères à l'abandon. La réalité avait le goût amer des mauvaises drogues. La guerre continuait au Vietnam. Alors j'ai quitté cette Amérique que j'avais tant aimée. L'écriture, un jour, permettrait de revivre ces vertiges, revisiter cette aventure."

Vous aimerez si vous êtes fascinés par cette période de l'histoire...
Je suis en train de le lire, je dévore chaque page!

Le Dahlia noir de James Ellroy



Le 15 janvier 1947, la police de Los Angeles trouve sur un terrain vague le cadavre nu d'une femme de 22 ans, Betty Short. Le corps est sectionné en deux au niveau de la taille, vidé de ses organes et de son sang, il présente de nombreuses lacérations et brûlures, notamment aux seins, et la bouche a été ouverte d'une oreille à l'autre. La police met toutes ses forces sur ce meurtre qui, à cause de la tendance de la victime à se vêtir de noir, devient "l'affaire Dahlia noir". Elle va faire la une du Herald Express pendant douze semaines.
Inspiré d'un fait divers, le premier volet du Quatuor de Los Angeles a consacré le James Ellroy auprès du public français. À la lecture de cette bombe, on comprend aisément pourquoi : il fait vivre au lecteur une véritable descente aux enfers. Cette mortelle randonnée continue dans Le Grand Nulle Part, L.A Confidential et White Jazz. --Nicolas Mesplède --

"europes, europe" de Barrot
révisions encore et toujours

Je te retrouverai de John Irving

"Dans un port de la mer du nord,deux silhouettes bravent la nuit : une très jeune femme et son petit garçon à la poursuite du père fugitif. Tandis que William le séducteur fait tonner tous les orgues de Scandinavie, Alice le talonne et gagne sa vie en tatouant sur des épidermes consentants des coeurs brisés, des fleurs voluptueuses et des serments de fidélité.
Déçus dans leur quête, mère et fils s'embarquent pour le nouveau monde où l'enfant grandit hanté par le fantôme de son père auquel il redoute, et s'efforce pourtant, de ressembler, par son nomadisme amoureux et son besoin d'envoûter un public. Car à 20 ans Jack Burns est bien décidé à tirer parti de son patrimoine personnel - visage d'ange et mémoire prodigieuse - pour briller au firmamant d'Hollywood.
Or, cette mémoire n'est-elle pas sous influence? La belle Alice, si habile aux fioritures, a-t-elle dit toute la vérité et rien que la vérité? Est-il encore possible de retrouver la trace de l'organiste accro de l'encre au fond de la vieille Europe?


du même auteur : Le monde selon Garp

Toujours les mêmes thèmes, dont la vocation d'écrivain. Roman très riche et très bien écrit, des moments drôles portés parfois par une manière d'écriture familière.

Knock de Jules Romains

Pour le lycée c'est une piece de théatre qu'on étudie et pour l'instant elle me plait bien

Les contes de Canterbury - Geoffrey Chaucer

Voici un receuil de contes assez impressionant, fort de ses quelques 800 pages bien tassées. Il a été écrit autour de 1380, prenant pour cadre des pélerins allant en pélerinage au tombeau de St Thomas de canterbury. Chacun des voyageur relate un conte. Il y a de trés nombreux contes, plus d'une dizaine, d'où l'importance de l'oeuvre. Les thémes traités dans les contes sont souvent légéres, ayant trait à l'amour, au mariage, à l'honneur. Parfois salace, en tout cas souvent tourné autour d'histoire dans ce genre, c'est assez agréable a lire mais parfois répétitif.

Si ca n'était pas pour l'école, je le lirais de maniére parcimonieuse, choisissant un conte de temps à autre, mais là je suis presser par le temps, et mes les avalés tous tour à tour, c'est un peu lourd au bout d'un moment.

En ce moment je lis un roman de Maurice G. Dantec, "Cosmos Incorporated".

J'en suis au début mais ça me plaît bien.

Les cendres d'Angela, de Frank McCourt.



L'histoire : Né à Brooklyn en 1930, Frank McCourt n'a que quatre ans quand il rentre en Irlande avec ses parents, faisant à rebours le trajet habituel des émigrants. Pour toute la famille, c'est un échec cuisant et la perte de tout espoir avec l'abandon du rêve américain. En Irlande, où l'on se passerait bien de ces miséreux que l'on croyait définitivement partis pour l'Amérique, l'accueil n'est pas très chaleureux et la détresse n'en est que plus profonde. Les souvenirs d'enfance de Frank McCourt sont le récit d'une véritable lutte pour la survie dans des conditions matérielles effroyables. Pourtant, ce qui en ressort c'est un indomptable amour de la vie, le courage de rire de ses propres malheurs et une énergie farouche qui poussera l'auteur à repartir à la conquête de l'Amérique...

Mon avis : Triste, on se demande quand les morts vont s'arreter au début, tout le monde y passe... :| Mais très intéressant sinon, on imagine assez bien les conditions de vie de l'époque en Irlande pauvre... [surtout en ayant vu le film quelques jours avant ] Facile à lire en tous cas. Histoire vraie, je précise.

Journal d'hirondelle d'amelie nothomb (enfin )

je n'en suis qu'au debut ^^

Pug L'apprenti : Les chroniques de Krondor
De R.E Feist
Genre : Fantasy



Histoire : Né de parents inconnus, le jeune Pug a été recueilli et élevé au chateau de crydee, ou il office comme garcon de cuisine tout en révant d'une vie d'aventures. Son existence se voit pourtant bouleversée lorsque Kulgan, magicien de la coeur, le prend comme apprendti et lui revèle qu'il possède un pouvoir d'une puissance inconnue. Au même moment, d'étranges phénomènes maléfiques commencent à naitre, et de sombre hordes de guerriers venus de nuelle part envahissent la contrée. Inéxorablement, alors que les forces du Chaos mettent en péril la destinée du monde, Pug ne devra appprendre a compter que sur lui même

Mon Avis : Cetait avec une grande approbation que je lit le résumé de ce bouquin mais bon allez jen avait marre de tout ces thrilles politico-nano-bidons. 1 er chapitre intro mouais pas tres intéressant, mais le bougre des les prochains chapitres il mattaque par derriere et m'oblige à enchainer les chapitres. En plus , on évite les passages lourd, genre ils doivent aller d'une ville à une autre il va rien se passer et ben non dans ce livre pas de ligne ennuyante.
Je le conseil à tous les fans de Fantasy moi je cours acheter le tome II