De présencePC :
Le très sérieux Centre de Recherche de l’École Supérieure et d’Application des Transmissions dépendant du Ministère de la Défense vient de révéler le contenu d’une étude d’un an à propos d’OpenOffice.
Les macros comme point faible
Les principaux reproches viennent du fait que les macros sont parfois exécutées sans aucun avertissement ni contrôle de la part du logiciel. Ce qui fait dire au lieutenant-colonel Eric Filiol, directeur de l’ESAT la chose suivante : « Nous pouvons affirmer qu'OpenOffice nous apparaît comme plus dangereux que son équivalent commercial édité par Microsoft ».
Des propos relativisés
Mais Eric Filiol relativise tout de même ces conclusions : « Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain: c'est un produit qui est jeune et il n'a jamais été pensé en terme de sécurité. Jusqu'à présent, la priorité a été de proposer autant de fonctionnalités que Microsoft Office ». Les chercheurs du Ministère de la Défense pourraient donc tout à fait participer au développement de OOo puisque plusieurs réunions sont prévues entre eux et les développeurs historiques du programme.