Egalité des sexes (tous a poils dans les pogos !)

Ah Pravda

Morgan a écrit:

Ah Pravda

CQFD =P

Et autre que l'aspect physique, comment peut on espérer une égalité des sexes quand les plus hautes fonctions de notre société sont occupés par des hommes, que les plus grands dirigeants d'entreprise, bah c'est des dirigeants et pas des dirigeantes...

Partout où l'on va, partout où l'on regarde, l'homme est plus présent que la femme.

Rien qu'à la télé, prépondérant dans la société française (et moi le premier) on voit toujours plus de présentateurs, d'animateurs que leurs comparses féminine.

Ou alors dans les émissions de télé rares sont les femmes qui ne sont pas utilisées pour faire la potiche ou alors elles sont en second plan...

vindsval a écrit:

Citation :

La société européenne a beaucoup souffert sur ce
plan du puritanisme exacerbé du XIXème siècle, que n'a pas complètement
balayé mai 68.

Mais qui a posé la chape de plomb de la pensée unique sur nos esprits.

Quoi ? Le XIXème ou mai 68 ?

vindsval a écrit:

Par contre nous avons la chance d'être dans une société où il est acquis que nous sommes égaux en droits, quand un homme peut enlever le haut alors une femme aussi.

Vrai dans les lois, archi-faux dans la réalité.

vindsval a écrit:

Citation :

vindsval a écrit:

Citation :

La société européenne a beaucoup souffert sur ce
plan du puritanisme exacerbé du XIXème siècle, que n'a pas complètement
balayé mai 68.

Mais qui a posé la chape de plomb de la pensée unique sur nos esprits.

Quoi ? Le XIXème ou mai 68 ?

Mai 68.

T'es un marrant, toi... La provocation a des limites, sais-tu ?

Quand on exprime des opinions qui ne vont pas dans ton sens c'est de la provocation?

pas exactement, la provocation c'est de balancer cette affimation contestable sans aucun argument, alors que nous en avons de nombreux pour affirmer pile poil le contraire : par ex. mai 68 c'était des idées nouvelles, donc plus proche d'une diversité d'idées que d'une pensée unique...

vindsval a écrit:

Quand on exprime des opinions qui ne vont pas dans ton sens c'est de la provocation?

Pas du tout. C'est d'exprimer une opinion qui va à l'encontre de l'Histoire (avec un H). Comme les négationnistes, par exemple (toutes proportions gardées, bien sûr).
Il est évident et unanimement admis que les révoltes de mai 68 ont fait souffler un vent de liberté et de démocratie unique. Qui, je te le concède, a mal passé les générations sur certains points.
Donc je respecte ton opinion (qui pourrait être un poil argumentée) mais je maintiens que c'est de la provocation.

fenwick1hand a écrit:

pas exactement, la provocation c'est de balancer cette affimation contestable sans aucun argument, alors que nous en avons de nombreux pour affirmer pile poil le contraire : par ex. mai 68 c'était des idées nouvelles, donc plus proche d'une diversité d'idées que d'une pensée unique...

Voila !

vindsval a écrit:

Ce n'était qu'une remarque HS voilà pourquoi je ne suis pas allé plus loin, il n' y a pas de quoi se sentir offusqué.

Je ne suis en rien "offusqué". Je donne moi aussi mon opinion. C'est juste que je n'aime vraiment pas la mauvaise foi, et parfois la limite entre provocation et mauvaise foi est bien mince.

Une fille dans un pogo ? Qu'elle soit seins nus ou pas, ce n'est pas sa place.
Prétendre que si - si c'est bien cela être "féministe", exiger que la femme soit l'égale absolue et de façon bornée de l'homme - je trouve que ça va à l'encontre de la "féminité".
Je ne la considère pas comme une salope du tout, la fille qui irait la poitrine à l'air dans un pogo, mais comme une sorte d'erreur de la nature, une femme qui d'un coup perd toute féminité et n'a alors plus de genre.
Malheureusement plus répandu comme exemple : les femmes, souvent jeunes, que l'on voit picoler au goulot dans la rue. Un homme qui fait ça, selon les circonstances, on le qualifiera d'ivrogne ou de fêtard, par exemple. Mais lorsqu'il s'agit d'une femme, c'est une impardonnable faute de goût. Elle devient un truc abject qui a une attitude plus que dégradante, "déféminisante".
Dans bon nombre d'autres domaines, là je n'aborde qu'une infime partie du sujet, l'égalité entre les hommes et les femmes est légitime et ne saurait être remise en cause. En leur faveur, on peut dénoter chez beaucoup d'entre elles un bon sens inné face à n'importe quelle situation en nécessitant. Peut-être l'instinct maternel.
Mais pour continuer de briller elles doivent savoir se démarquer des hommes, cultiver une certaine "inégalité" dans le sens d'une "différence", et ne jamais se départir de leur féminité.

L'instinct maternel n'est qu'une pure invention hum...
Il y a quelques siècles, les femmes n'avaient rien à foutre de leurs enfants, d'ailleurs elles ne s'en occupaient pas.

cercopithèque chafouin a écrit:

Une fille dans un pogo ? Qu'elle soit seins nus ou pas, ce n'est pas sa place.
Prétendre que si - si c'est bien cela être "féministe", exiger que la femme soit l'égale absolue et de façon bornée de l'homme - je trouve que ça va à l'encontre de la "féminité".
Je ne la considère pas comme une salope du tout, la fille qui irait la poitrine à l'air dans un pogo, mais comme une sorte d'erreur de la nature, une femme qui d'un coup perd toute féminité et n'a alors plus de genre.
Malheureusement plus répandu comme exemple : les femmes, souvent jeunes, que l'on voit picoler au goulot dans la rue. Un homme qui fait ça, selon les circonstances, on le qualifiera d'ivrogne ou de fêtard, par exemple. Mais lorsqu'il s'agit d'une femme, c'est une impardonnable faute de goût. Elle devient un truc abject qui a une attitude plus que dégradante, "déféminisante".
Dans bon nombre d'autres domaines, là je n'aborde qu'une infime partie du sujet, l'égalité entre les hommes et les femmes est légitime et ne saurait être remise en cause. En leur faveur, on peut dénoter chez beaucoup d'entre elles un bon sens inné face à n'importe quelle situation en nécessitant. Peut-être l'instinct maternel.
Mais pour continuer de briller elles doivent savoir se démarquer des hommes, cultiver une certaine "inégalité" dans le sens d'une "différence", et ne jamais se départir de leur féminité.

Abruti

Merci