j'comprend pas bien ce qu'on doit mettre ( ce qu'on peut, mettre) dans cette partie mais j'vais y poster deux poèmes, deux textes en vers plus précisement qui me tiennent à coeur et que j'ai fait depuis un petit moment déjà. C'est un style un peu spécial, c'est compréhensible mais peut être que parmis vous y'en aura un ou deux à qui çà plaira^^
Négatif du monde.
Rideau de fer sur la Mer,
Voile de misère sur la Terre,
Poigne de fer d'la part de l'Enfer...
Faire le mal je sais faire,
Le bien c'est dur comme affaire.
Le chaos règne en maitre
La terre a mal et apelle a l'aide,
Apelle a être, a exister,
A paraitre, sembler connaitre, trouver
La voie, la voix, le sens,
De la vie de l'existence.
Toujours le même sujet qui revient dans mes dires,
Faut s'demander c'qui m'pousse à écrire.
Dire, redire, crier, hurler le malaitre de ce monde
Graver moi même l'épitaphe figurant sur leur tombe
Qui s'en chargera, qui sera là?
Pourtant un jour faudra bien que sa se fasse.
Que l'Humaine reconnaisse qu'il est une menace.
Pour la faune, la flore, et tout c'qui vit.
Devrais-je plutot dire tout c'qui survit.
Pour cette planète qui l'a acceuillit,
Et qu'il détruit petit à petit.
C'est marrant, j'ai trop de pensée négatives,
Mais j'me force a voir le monde sous cet aspect délaissé,
Sous ce mot d'ordre non positif, avec comme arbres des ogives,
Comme refuge une poudrière, comme maison un cendrier.
La cendre y est, dans ce monde brutal,
Dans tout le vacarme de ce monde animal.
Rip pour la conscience des hommes,
Qui brule s'conssume facilement comme des herbes folles.
-Larmes et (des)illusions (2005)-
Composées de sentiments, de haine, de douleur, de tristesse et de sang..
Elles coulent, battant la mesure des rythme que jecoute, du vent qui frappe le temps...
Mes larmes gouttent et font mal comme des mots se transformant en râle..
Comme des phrases lancées pour brûler un encéphale.
Des rimes fatidiques permettant d'expulser l'arsenic que j'ai au fond des veines,
Celui qui m'anime, qui tiens mes rennes.
Je combat ces sentiments violents depuis que je suis né.
Ils s'emparent de moi à un instant donné,
Et me poussent à agir par pure rage désordonnée, par pure colère noire,
Et par pure vengeance avide de savoir.
Savoir quels sont ceux sur qui j'peux compter,
Quels sentiments dérangeants garder,
Tuer les autres,
Anéantir les votre,
Que seuls les miens restent et demeurent.
Un jour, les ressortir, les laisser ressurgir pour votre plus grand malheur..
Rimes guerrières pour expulser la peine, la rage
Et la misère que m'insufflent ce monde et ses sbires immondes.
J'aimerais leur dire que j'suis présent, tendant l'épée au destin,
Glaive ensanglanté dans chaque main, lames dénudées de satin
Mais enrobées avec l'essence du malin,
Pour les détruire, les éradiquer.
Leur prouver que les mots peuvent tuer
Bien plus qu'une bonne lame,
Qu'ils peuvent consumer jusqu'à l'Ame.
Vous voila prévenus, je ne le redirais plus.
Sortez de ma route, emportez mes doutes, et périssez dans l'oubli,
Là ou finissent tout ceux qui pourrissent ma vie.