SALUT LES TERRIENS !
Diffusion : Canal+. Chaque samedi en clair, à partir de 19H20, dès le 04/11.
Thierry Ardisson présentera l’actualité de la semaine en 50 minutes, " observée et analysée avec distance et décalage. "Une revue de l’actualité de la semaine sur un ton qui se veut " impertinent et décalé ".
Le concept : SALUT LES TERRIENS ! recevra chaque semaine en plateau trois invités pour décortiquer l’actualité, sur un ton libre, impertinent et décapant.
Construite comme un magazine papier, l’émission passera en revue toute l’actu : société, culture, monde, ou encore sport et politique.
Trois temps forts : La première partie de SALUT LES TERRIENS ! sera consacrée à une interview fouillée de l’invité principal.
Après « La Télé des Terriens », la nouvelle chronique de Stéphane Guillon, place à l’actualité commentée par Thierry Ardisson et ses invités qui réagiront aux reportages proposés sur les différents sujets de la semaine.
Enfin, ponctuée de magnétos inattendus et décapants, la troisième partie de SALUT LES TERRIENS ! sera dédiée aux deux autres invités.
Le choc des mondes : Le choix des invités tourne autour d’un principe : celui de créer des rencontres, des retrouvailles, ou des ruptures… ou le choc entre deux mondes, avec des personnalités issues de tous les domaines qui ne se seraient certainement jamais croisées sans SALUT LES TERRIENS ! .
Interview de Thierry Ardisson ( extrait dossier de presse ) :CANAL+ pour vous, c'est vraiment une terre inconnue ?Thierry Ardisson : Non, car j'ai le sentiment d'avoir toujours eu le style Canal. Je faisais déjà du Canal sur France 2 et maintenant je viens faire du Canal sur Canal. Tout cela est logique.
Quel effet cela vous fait d'être dans le même environnement que les Guignols et Groland ?T. A. : Ça me ressemble plus que David Pujadas et Olivier Minne…
Quel est le concept de “Salut les Terriens” ?T. A. : En 50 minutes, on passera en revue l'actualité de la semaine en compagnie de trois invités. L’émission sera bâtie comme un magazine papier avec des rubriques politique, culture, monde, société, sport. Il y aura trois temps forts. On commencera avec une première partie avec un entretien fouillé avec l'invité principal. Ensuite, on commentera l’actualité à partir de petits reportages. La dernière partie sera consacrée aux deux autres invités. Entre-temps, il y aura une chronique décalée sur la télé de Stéphane Guillon.
“Salut les Terriens” : pourquoi ce titre ?T. A. : Je me suis enfermé cet été pendant trois semaines avec deux objectifs : travailler sur mon film pour Studio Canal et trouver le concept de cette émission. Je suis sorti de là avec “SALUT LES TERRIENS ! ”. L’idée est d’observer et d’analyser les choses avec distance, recul et décalage. Il y aura des gimmicks, bien sûr, parce que je crois beaucoup aux gimmicks, mais rassurez-vous, il n’y aura pas overdose de petits hommes verts chez l’Homme en noir ! Quant au titre, c’est aussi un clin d’oeil à “Salut les copains” et à Daniel Filipacchi, que j’admire, mais aussi au « Salut bande de nases ! » que je lançais à la cantonade en intro de “Lunettes noires pour nuits blanches”, il y a vingt ans.
Et côté choix des invités ?T. A. : J'aime avant tout créer des rencontres sur le plateau.
Cela peut être des gens qui souhaitent se rencontrer ou, au contraire, qui sont totalement antagonistes. Le principal est avant tout de créer des contacts entre des gens qui n’auraient aucune chance de se croiser ailleurs. Le choc des mondes, c’est un peu ma marque de fabrique en matière de talk-shows.
L’émission est-elle enregistrée en public ?T. A. : Oui, mais le public sera moins présent que dans “Tout le monde en parle”. Il y aura un orchestre live, NoJazz. Ils font exactement ce que je voulais : un jazz assez classique avec des riffs de cuivres et, derrière, une rythmique funk ou rap. Ils feront mon entrée, celle des invités et les césures entre les interviews. On voudrait arriver à créer une réelle complicité entre nous. Je trouverais par exemple drôle que les musiciens interviennent pendant les interviews.